Le nom du seul vrai Dieu c’est vous.
Historiquement, dans le judaïsme et le christianisme, Yahweh et Jehovah sont deux versions du même mot, YHWH qui réfère à Dieu, le créateur ultime du ciel et de la terre de même que du peuple d’Israël. L’alphabet hébreu originel possède des caractères pour les consonnes, mais pas pour les sons voyelles. Ceci rend difficile la lecture de ce mot particulier également connu comme le tétragramme. En outre, le mot YHWH devint l’objet d’une révérence religieuse qu’il était interdit de le prononcer ou de le lire tout fort en public. Le mot hébreu « Adonai », qui signifie mon Seigneur, devint le mot de substitution pour ce mot sacré de Dieu à partir du deuxième siècle avant Jésus-Christ. Les érudits ne savent toujours pas exactement aujourd’hui quelle fut réellement la prononciation originelle de ce mot.
L’œuvre des érudits hébreux connus comme les Masorètes, du deuxième aux huitièmes siècles avant J-C, entreprit le projet d’ajouter des voyelles et une prononciation aux textes hébreux sacrés visant à en indiquer la prononciation et l’intonation traditionnelles. Dans le cas du Tétragramme, YHWH, les Masorètes ajoutèrent des voyelles du mot « Adonai », apparemment pour rappeler aux lecteurs futurs quel était le mot qu’il s’agissait de substituer. Il ne fut pas tenu compte de cette pratique lorsque ces textes furent ultérieurement traduits. C’est ainsi que la translittération d’YHWH une fois accomplie avec l’addition masorétique des voyelles d’Adonai résultat dans le nom Y-a-H-o-W-ai-H ou Jéhovah.
Les témoignages recueillis par les pères de l’Eglise grecque suggèrent qu’à l’origine le nom était prononcé comme « Jaweh » ou « Yahwe » selon la racine juive « hawah » signifiant « être ». Cette racine reflète l’interprétation traditionnelle du nom de Dieu tirée de l’expérience de Moïse avec le buisson ardent où le nom sacré fut exprimé ainsi : « Je suis qui je suis ». La forme moderne acceptée de ce mot est Yahweh. Les mots Yahweh et Jéhovah de la tradition judéo-chrétienne sont donc deux versions du même nom.
Jéhovah et Yahweh sont les noms de deux êtres distincts en conflit l’un avec l’autre qui ont été directement impliqués dans l’évolution de la civilisation humaine. Le nom de Jéhovah réfère à ce qui traditionnellement est reconnu comme le Dieu du peuple d’Israël, le Dieu d’Abraham, Isaac et Jacob, le Dieu de Moïse, de même que le Dieu des rois et prophètes d’Israël.
Les textes sacrés hébreux indiquent clairement que ce qui traditionnellement est admis comme des références à un unique Dieu ultime est en fait une simplification des sources originelles. Le livre de la Genèse lui-même n’est pas entièrement original au judaïsme. Il comporte des parallèles évidents avec des traditions beaucoup plus anciennes comme la littérature sumérienne. La bible utilise plusieurs noms différents pour Dieu, noms qui ne sont pas uniquement des adjectis ou des termes descriptifs de l’Etre Suprême, par exemple « El », « Elohim », « Eloah », « YHWH », « Adonai » de même que les termes mystérieux « Anunnaki » et « Néfilim ». Une telle variété de termes pour Dieu et le divin est une indication que le Bible a assimilé diverses traditions étrangères.
L’image de l’Etre Suprême que présentent les textes hébreux contient un paradoxe en ce qui concerne la nature de Dieu, paradoxe qui a déconcerté les théologiens tout au long de l’histoire. Ce conflit d’idées crée un terrain fertile pour des vues dissidentes entre ce qui est considéré comme orthodoxe ou du domaine de l’hérésie. Une des toutes premières interprétations de la Bible à être considérée comme une hérésie au début du christianisme fut le marcionisme. Marcion de Sinope (autour des années 85-165) voyait clairement une distinction entre le Dieu courroucé du peuple d’Israël et le Dieu aimant prêcher par Jésus-Christ. Ils ne sont pas considérés comme le même être.
Le monde moderne et l'hérésie de Marcion
Dieu le Créateur est décrit dans la Bible comme le bien ultime et la source de toute existence ; il y est cependant également décrit comme un Dieu aux humeurs changeantes, jaloux, avide de sang, impatient, génocide et psychotique. Cette dichotomie présente un défi théologique et philosophique réel que la tradition n’a jamais remis en question et qui est atténué par l’exhortation à l’allégeance aveugle et à la suprématie de la foi par toutes les religions qui sont fondées sur ces textes. La présence du mal en contraste avec le concept d’un Dieu bon et aimant est le point de conflit le plus évident qui émerge de ces textes, de même que le problème insoluble de l’immanence de Dieu dans l’univers créé aux côtés de sa transcendance par rapport à cet univers. Par contraste, les véritables origines de la création dans le Néant, la descente des Dieux au travers des sept niveaux de conscience et d’énergie, et la description particulière du Dieu d’Israël, révèle avec clarté que l’information présentée dans les textes hébreux sacrés réfère à une réalité bien plus complexe et profonde que ce qui littéralement apparent.
Les altérations multiples des différents éditions de la Bible, qui furent identifiées par les érudits bibliques du fait de techniques ou formes littéraires ou de critique historique révèlent l’existence de sources littéraires ou philosophiques différant de manière significative des traditions du judaïsme lui-même. L’interprétation cohérente et scientifique des concepts bibliques de la création « à l’image de Dieu », « le souffle de vie », et la science qui les sous-tend décrite dans la première partie de cette œuvre complète offrent des indices importants qui démontrent ce qu’à pu être la signification originelle de ces récits. Il y est également démontré à quel point ont perdu leur contexte hermétique spécifique.
Ce n’est que récemment que la Bible devint l’objet d’un examen critique véritable avec l’émergence du mouvement de la Renaissance et les premières traductions de la Bible dans la langue vernaculaire. Un des points forts du mouvement de la Réforme protestante fut l’étude sérieuse de la Bible grâce aux méthodes critiques nouvelles de l’érudition historique et littéraire. Parmi les premières critiques bibliques furent les philosophes du dix-septième siècle tels que Thomas Hobbes, Baruch Spinoza et Richard Simon. Néanmoins, l’étude critique de la Bible la plus importante – sur les plans littéraires, historiques et archéologiques –fut principalement entreprise par les érudits allemands durant les dix-huitièmes et dix-neuvième siècles. Cette approche méticuleuse des textes sacrés démontra que certains récits bibliques importants et faits d’auteurs étaient en conflit avec les preuves historiques et archéologiques disponibles. Fait intéressant, les preuves archéologiques les plus anciennes, spécialement celles qui sont d’origines égyptienne, babylonienne et sumérienne, ne contredisent pas la description des événements concernant le peuple d’Israël et leur interaction avec Jéhovah et son pouvoir d’intimidation.
Une guerre de résistance vers l’évolution.
Une grande guerre éclata parmi les Dieux et leurs créations, une guerre qui dura des siècles et qui, dans une certaine mesure, n’a pas encore été conclue. En particulier, la guerre entre Jéhovah et les Dieux Id et Yahweh a eu un impact indélébile sur la race humaine et notre système solaire. Une grande partie des débris cosmiques des ceintures d’astéroïdes et des comètes est apparue du fait de cette bataille.
D’autre part, les Dieux qui étaient responsables d’évoluer et de s’incarner dans un corps physique humain se trouvèrent graduellement immergés et perdus dans leurs nouvelles créations du fait de la peur et du besoin de survivre. Les Dieux qui avaient choisi de s’incarner comme des êtres humains se mirent graduellement à oublier leur divinité et commencèrent à appeler le ciel à l’aide. Trois dieux répondirent à leur appel et leur vinrent en aide : Yahweh, Jéhovah et Id.
Durant la grande guerre, Yahweh prit refuge dans les Pléiades et Jéhovah fit retraite dans le système solaire de la terre. Il revendiqua – comme si elle lui appartenait – la race des serviteurs humains que les membres de sa propre parenté de la maison d’Anu avaient manipulés génétiquement. Jéhovah méprisait le groupe des Dieux des Pléiades car ils étaient sexuellement attirés par les femmes de la terre et les forçaient à s’accoupler avec eux. Les rejetons qui résultèrent de ces rapports sexuels furent les Néfilims de la Bible, les géants terribles de la mythologie. Jéhovah entra de nouveau en guerre avec les Pléiades et acquit une totale souveraineté sur la terre. Il déclara que l’humanité était son bien personnel et soumit tout le monde à sa règle, à l’exception des Egyptiens qui aimaient Yahweh mais ne connaissaient pas son nom.
Jéhovah rechercha la lignée génétique d’un homme de peu d’importance, Abraham, pour servir ses desseins et, usant de se peur et de son ignorance, le manipula aisément. A partir de cet homme, il créa une multitude, un peuple élu pour combattre Yahweh sur ce plan et en particulier les Egyptiens. Mais jéhovah avait une telle colère et une telle haine dans son cœur et son âme qu’il se servit du peuple qu’il avait élu comme d’une arme contre toutes les autres races. Cette campagne marque le commencement du règne de Jéhovah sur Terre. Il convoqua scribes et prophètes pour transcrire ses paroles de menace et de meurtre, ses affirmations de séparation et de discrimination des peuples, la création de l’animosité entre femme et homme, époux et épouse, enfants et parents, et entre différentes croyances La religion devint terriblement écrasante et asservissante, car l’adoration d’un Dieu qui inspire la peur en vous n’est pas de l’adoration mais un pur asservissement. Le visage de la terre se transforma en un monde de guerre impitoyable et terrible. Jéhovah, Dieu souverain doté du don du libre arbitre, était devenu l’horreur de la conscience en tous lieux.
Les seuls vestiges de l’armée de Yahweh étaient les Dieux s’incarnant de l’origine, qui n’étaient ni tombés dans la servitude ni perdus dans l’humanité à cause de la survie et de la peur de la mort. On connaît aujourd’hui cette fraternité particulière sous le nom de Grande Fraternité Blanche d’êtres qui vivent aux plus grands points-clés e référence de la terre. Id, Yahweh et cette fraternité de Dieux s’incarnant, forment ce qui est connu comme le conseil des Treize. Ce conseil compte 13 entités parce qu’elles furent les seuls à se présenter.
Jéhovah ne pouvait pas détruire Yahweh directement, mais seulement au travers de son peuple et de ses créations. Le conseil des Treize observa les abus et l’asservissement de l’humanité perpétrés par Jéhovah durant des siècles et permit que son règne se poursuivre sans interférence. Ils décidèrent éventuellement de participer à l’évolution de cet état de choses. Ils unirent tout ce qu’ils étaient, divisant leurs âmes, leur sagesse et leur connaissance, et créèrent le programme d’une âme humaine unique dont l’avènement changerait à jamais l’état de conscience de la race humaine. Ceci fut accompli au travers de Yeshua ben Joseph qui enseigna la paix et la conscience progressive, objet même du combat mené par Yahweh et Id, amenant une paix nouvelle dans le monde.
Jéhovah n’était pas venu dans le monde pour l’aimer et le sauver. Il vint pour livrer la guerre. La seule chose qui l’intéressait était d’être adoré et servi. Dans le plan de Yahweh, d’Id et du Conseil, la réponse, l’antidote, était un amour inconditionnel pour la vie, pour toutes les formes de vie et leur évolution continuelle. Jéhovah n’a pas évolué et demeure un Dieu de la rétribution, de la division et de la vengeance. Jéhovah n’a pas appris que les êtres humains sont aussi des Dieux immortels, qu’ultimement nous ne pouvons mourir ou être détruits car notre Esprit est né du Néant aux origines mêmes de la création et est éternel par nature.
Jéhovah perpétra le mensonge selon lequel il était l’Etre suprême, supérieur à la totalité de la création. Il prit la place du Point Zéro et se l’attribua exclusivement alors que lui-même avait également son origine dans le Néant et le Point Zéro.
« Si un Dieu était réellement Dieu – tel est le problème à propos de la Bible -, si Dieu est réellement Dieu, Il n’a pas besoin d’être adoré. Comprenez-vous ? »
L’influence de la mentalité de Jéhovah se retrouve dans notre culture moderne beaucoup plus que nous ne voulons l’admettre. Cette mentalité a été le grand facteur préventif de l’évolution humaine. Elle a empêché l’humanité dans son ensemble de définir son vrai soi en termes de conscience et d’énergie, raison et intelligence dynamiques possédant le pouvoir inhérent et la liberté dans sa volonté de s’engager dans l’expérience et l’exploitation de ce qu’il est.
« Dieu, qu’est-ce donc ? Intégrité, impeccabilité, le pouvoir de choisir, le pouvoir d’expérimenter, de savoir qu’aucun choix créé par vous-même, n’a le pouvoir d’amener votre vie à son terme à moins que vous ne l’ayez créé ainsi sottement, et la connaissance que chaque pensée nous donne le pouvoir. »
« Si, en conséquence, quelqu’un vous dit : en quoi crois-tu ? Dites : la seule religion que je connaisse, la seule que je sais que Dieu m’a donné, c’est ma vie. Ma religion est ma vie. Et vivre est une prière au quotidien. Qu’il en soit ainsi. »
La guerre des Dieux.
« Vous savez que vous êtes des Dieux, parce que, dans le passé, vous avez été manipulés par des Dieux. Si vous n’étiez pas des Dieux, aucune manipulation ne serait nécessaire ; il n’y en aurait pas. »
Vous avez donc toujours été Dieu. Dans ce royaume, la survie du plus fort consistait à réussir à convaincre un grand nombre d’autres Dieux ignorants qu’il était le seul Dieu et que ces disciples devaient l’adorer et obéir à ses ordres. Si un Dieu était réellement Dieu – tel est le problème à propose de la Bible -, Dieu n’a pas d’être adoré.
Le genre humain qui habitait cette terre, était l’homme du cinquième niveau par rapport aux sept niveaux existants. Le cinquième niveau, c’était, en vérité, les Dieux qui avaient créé l’homme et qui, par la suite, en scindèrent l’âme et l’Esprit de sorte que l’homme et la femme soient le double l’un et l’autre, créant ainsi cette énigme que sont les « âmes sœurs ». Entité, ils commencèrent à se propager dans l’homme du septième niveau qui pouvait émerger. Le sixième niveau de ce qu’on appelle l’homme devint les constants ou suzerains.
Il existe un suzerain qui est un Dieu extraordinairement remarquable ; il vient de la septième compréhension aryenne parmi les sept compréhensions de l’homme. Il vient des Pléiades. Il était un parmi trois au commencement, alors que l’homme avait perdu son innocence et commençait à être une créature vivante prospère et meurtrière sur les plaines d’Eden et de Sharon. Lorsque l’homme devint diversifié, il habita la totalité de la Terre, son corps étant alors perfectionné.
Un plan est un niveau de la conscience dimensionnelle dont le point ultime est la pensée pure. Les sept niveaux de l’homme sont les divisions de l’homme telles qu’elles furent créées par les Dieux. Ce qu’on appelle les cinq premiers niveaux de l’homme fur le corps de l’homme qui deviendrait bientôt les différents ordres ou sectes, pour ainsi dire. L’homme qui vint ici était un des groupes d’hommes qui se répandit ensuite sur la totalité de la Terre et, selon le froid et la chaleur, la teinte de leur peau commença à se conformer aux changements climatiques.
L’homme du sixième niveau était l’homme non incarné. On lui donnerait le nom de constant ou bien de ce qui préserve l’équilibre et l’ordre au sien d’un univers contrôlé par la conscience. Ce sont eux qui contrôlent les éléments, les orages, les saisons, la rotation de la terre. On pourrait les appeler les grands anges. Ils sont l’homme non incarné bien qu’ils soient hommes.
L’homme du septième niveau portait le nom d’Aryen. Ce groupe de Dieux faisait en sorte que l’âme et l’Esprit de l’homme qui allait naître soit d’un niveau égal aux enfants de l’homme du cinquième niveau. Autrement dit, si tous les Dieux venaient sur ce plan, qui serait leurs enfants ? Le septième niveau est composé d’entités divines. Ce furent elles demeurèrent le plus longtemps et virent le progrès de l’homme avant de devenir leurs enfants. A leur naissance sur ce plan, ils étaient fort intelligents. Ce sont eux qui créèrent et commencèrent ce qu’on appelle l’évolution du genre humain jusqu’à ce qu’il devienne cet être remarquable que l’homme est aujourd’hui.
Lorsque la grande guerre éclata, du fait que les Dieux étaient compétitifs de nature, chacun cherchant à créer mieux que les autres –, lorsque la guerre se déchaîna, il y avait trois Dieux, qui, en vérité, luttaient l’un contre l’autre. Yahweh qui est une des entités issues d’une maison qui n’a jamais été connue de vous, apparut sur cette terre, et commença à expérimenter sur l’homme pour que celui-ci ait un nouveau royaume, une nouvelle évolution, une nouvelle compréhension ici ; c’est ainsi que l’homme commença à croître.
Il était suprêmement intelligent, car, sans lui, seuls régnaient jalousie, haine, amertume et chagrin, le chagrin de voir des dissensions qui avaient déjà eu lieu alors qu’avait débuté la guerre des cieux. Alors que le genre humain commençait à évoluer ici et que les Dieux des cinquièmes niveaux commençaient à intercéder et à devenir l’incarnation de l’homme ici, alors qu’en même temps l’homme du septième niveau commençait à commettre l’acte d’intrusion grâce à ce qu’on appelle la copulation, la vie était harmonieuse dans ce domaine particulier, jusqu’à ce que ce qu’on appelle la jalousie, la haine et la possessivité commence à devenir la manière d’expression de magnifiques entités exquises dans l’art de s’exprimer. La mythologie parle d’eux et il y a une grande vérité en cela ; il serait sage que la plupart d’entre nous lisent le récit. Ce qui fut transmis comme étant un mythe fut une réalité dans de nombreuses compréhensions. Les Dieux devenus hommes devinrent si beaux ici que la divinité de l’homme devint remarquable. Il pouvait faire exister le paradis simplement en lui souriant. Tel était le pouvoir qui l’accompagnait.
Il y avait une autre armée qui s’était établie, non loin des Pléiades, dans ce qu’on appelle un autre système ; là, l’armée appelée Jéhovah qui était chef d’une grande armée, partit en guerre contre le Dieu du nom d’Id. Le Dieu appelé Id régnait dans une expérience stellaire particulière. Jéhovah partit en guerre contre lui, car Id était une entité paisible. Son peuple se composait de lumières harmonieuses et leurs corps ne ressemblaient en aucune manière au corps de l’homme même à ce jour. La guerre éclata donc entre Jéhovah et les peuples d’Id. Les peuples d’Id allèrent à l’intérieur de leur plan ; ils créèrent une dépression dans leur grande galaxie afin de pouvoir y vivre et y être protégés ; en effet, ces Dieux n’aimaient pas la guerre, leur professeur Id leur ayant enseigné l’amour. L’amour était la seule chose qu’il connaissait. Après avoir fait exploser et détruit les planètes où habitaient ces peuples, Id engagea finalement la guerre contre Jéhovah. Une grande partie des débris que vous prenez pour des comètes, sont des vestiges d’étoiles. Elles sont là intentionnellement, ayant été de grandes planètes et galaxies, détruites lors de cette bataille particulière. Si Jéhovah possédait la guerre de la lumière et de la haine en son cœur, reconnaître le pouvoir d’autres entités donnait crédit à sa propre valeur. L’armée de Yahweh prit la fuite, et, ayant fui, fit ensuite alliance avec Id pour combattre Jéhovah près de notre galaxie. Un grand nombre de débris que l’on voit dans notre galaxie sont dus à cette bataille.
Ils pourchassèrent Jéhovah et le vainquirent ; il ne lui restait pratiquement plus que ses capitaines les plus proches et sa flotte la plus petite. Yahweh était retourné sur notre terre et œuvrait en compagnie d’autres entités à parfaire l’homme le magnifique afin qu’il puisse faire partie de la matière et vivre dans un paradis virtuel, un royaume qui était l’émeraude de cet univers-ci. Alors que Yahweh commençait à développer l’homme et que l’homme commençait à posséder un plus grand nombre des caractéristiques qu’il possède aujourd’hui, il devint une créature déchue car la peur commença à gouverner son domaine. Il était empli de crainte envers ceux de sa propre espèce et envers sa propre création. Lentement, ce déclin commença. L’homme commença à appeler les cieux à l’aide. Trois Dieux se présentèrent : l’un portait le nom de Yahweh, un autre s’appelait Jéhovah et le dernier s’appelait Id.
L’arche d’alliance.
L’arche de l’alliance existe. Son existence repose sur la plaine de Sharon, à l’extérieur du dernier monastère construit en tant qu’habitation Essène. Il y a un petit temple enterré au nord de la source qui coule à ses côtés. C’est là qu’elle est enterrée à grande profondeur. Elle sera découverte qu’après le tournant de notre siècle. La raison en est importante. C’est une prophétie qui va s’accomplir. C’est également une chose terriblement dangereuse.
Le Dieu Jéhovah choisit un groupe de gens. Jéhovah était un guerrier possédant une puissance immense, une beauté immense et un aspect immensément terrifiant. Jéhovah se battit contre Yahweh dans les cieux et, lors de leur bataille spectaculaire, les cieux devinrent visibles dans leur totalité. Il détruisit leur merveilleuse constellation et Yahweh trouva refuge dans les Pléiades, alors que le Seigneur Dieu Jéhovah trouva refuge dans cet univers-ci, le nôtre, prenant possession des serviteurs souverains de ses propres frères, l’homme. Il en prit possession et créa des lois ; l’homme prit connaissance de ces lois et se trouva soumis à leur contrôle rigide. Jéhovah méprisait les autres Dieux, ceux qui regardaient la terre et trouvaient que les femmes des hommes étaient si belles que leur groupe entier émergea des Pléiades et s’accoupla de force avec les femmes des hommes du cinquième niveau. Des géants naquirent, entités superbes et immenses qui démontraient une ressemblance à leur mère patrie et étaient d’une impeccable beauté.
Jéhovah engagea de nouveau la guerre contre les Pléiades, car il considérait l’ensemble de l’humanité comme lui appartenant et devant le servir. C’est ainsi qu’il fit la guerre contre Yahweh et Id des Pléiades et obtint la souveraineté sur la terre. Jéhovah devint donc un seigneur immense sur ce plan entier, à l’exception des Égyptiens qui aimaient Yahweh sans pour autant connaître son nom. Etant le seigneur, Jéhovah passa dans de grands vaisseaux d’une absolue splendeur dont il a été dit que se sont es chariots de feu invisibles. Il prit le contrôle de ce plan et de certains peuples et, dans son arrogance et son indulgence, les fit se battre contre les autres hommes de ce plan au prix d’une grande rétribution.
Yahweh – Dieu faisant preuve de la plus grande douceur malgré sa toute-puissance – exprimait sa lumière dans d’autres parties du monde pour enseigner à l’homme de ne pas lui être asservi mais d’exercer sa souveraineté vis-à-vis de lui-même, de ne servir que le feu enfermé en eux-mêmes.
Advint alors, une machination de Jéhovah, car il était toujours courroucé envers son propre peuple qui avait recommencé à démontrer sa volonté, qui est la volonté de Dieu, chacun ayant sa liberté propre. Ainsi fut créée une alliance grâce à laquelle Jéhovah pouvait parler à son peuple, alliance qu’il pouvait emmener au combat. Seuls les Nubiens pouvaient la transporter à cause de l’activité de la radiation qui en émanait ; les Nubiens possédaient une immunité contre elle. Ils communiqueraient donc avec Jéhovah en adorant l’alliance, pour ainsi dire, et il leur parlerait à volonté. Si quelqu’un venait à toucher l’alliance, il mourrait instantanément. Telle était la mesure de son amour.
L’alliance partit au combat ; ils la prirent avec eux. Depuis ses grands vaisseaux aériens, Jéhovah dictait là où engager la bataille et le combat grâce à l’alliance, son instrument de communication. Il pouvait mettre le feu et créer une barrière de lumière aussi terrible que l’étaient ses vaisseaux. Bientôt, alors que les Nubiens s’avançaient sur la plaine de la bataille, tous ceux qui s’y trouvaient périrent. Et ceux qui ne périrent pas souhaitaient qu’il en eut été ainsi, car leur peau se détachait de leurs os, leur yeux tombaient de leur orbite, leur reins explosaient, leurs cheveux tombaient de leur tête, leurs doigts étaient réduits en miettes et leur ventre laissait sortir leurs entrailles ; c’était en effet une arme terrible. Grandes et terribles étaient les armées qui marchaient avec cette arme ; grands et terribles étaient ceux qui l’adoraient car ils méprisaient tout le monde.
Jéhovah était complaisant et le ciel s’illuminait le soir grâce à la splendeur de ces vaisseaux. Ces petites gens, perdues dans leur ignorance, adoraient le Dieu Jéhovah. Il les faisait se courber au sol, tuer leurs enfants, marcher contre les nations, lever les armées et enterrer des innocents. Il divisait les mers, mettait le feu au firmament et annihilait des civilisations entières grâce à ce que nous appellerions une explosion au laser d’une ampleur atomique si quiconque s’opposait simplement à sa parole. Il leur apprit à le craindre, ce qu’ils firent.
Lorsque Jéhovah leva l’armée de David, il avait préparé un instrument d’horreur pour faciliter la marche contre Mikhaël, même sous les Hattusilis, et son royaume hittite. Ne voulant pas que sa propre armée aille au combat, il conduisit lui-même leur charge en créant une voûte d’horreur qui émanait de toutes parts de la radioactivité. C’est une voix qui pouvait parler et traduire les pensées de Jéhovah dans la langue de ceux qui écoutaient. Il actionnait lui-même les instruments de contrôle. Lorsque Jéhovah était dans la terrible alliance, tout ce qui se trouvait aux alentours émettait cette lumière extraordinaire. Rares étaient ceux qui, du fait de la teinte de leur sang, pouvaient porter l’alliance ; on les appelait les Nubiens. Ils avaient établit une immunité à cette horreur qui en émergeait. Comment s’y prenait-il ? Un seul de ses mots, de ses ordres, et il pouvait, d’une seule explosion, diviser les atomes, concentrer la lumière pour qu’elle devienne un rayon laser, détruire des murailles lointaines ; c’était une arme extraordinaire. Ils marchèrent donc contre le royaume hittite avec l’arche de l’alliance. Elle était adorée comme telle et, grâce à l’arche de l’alliance, Jéhovah pouvait parler à tous les peuples.
Jéhovah, traversant le royaume de David – brandissant l’arche de l’alliance -, partit en guerre une fois de plus contre Yahweh dans les cieux. Yahweh l’annihila dans les Détroits de Deneir, depuis les Pléiades. La paix fut ramenée sur le royaume de la terre – et l’assaut que lança Yahweh au travers des déserts égyptiens, dans un orage d’une ampleur formidable, enterre l’arche de l’alliance dans la plaine de Sharon. Elle se trouve enchâssée là où se trouvait jadis la vallée des Essènes – grâce à l’aide de Yeshua ben Joseph qui enseignerait les mécanismes internes que Yahweh et Id enseignèrent eux-mêmes au sujet du royaume des cieux. Cette entité apporterait une nouvelle paix au monde, ce qu’elle fit.
Le Dieu Jéhovah avait vécu pendant trois millions d’années ; il vit encore mais il est le Dieu terrible des représailles. Un jour, lorsque ce plan pourra se redresser et reconnaître qui ils sont et ce qu’ils sont, l’arche sera dévoilée et détruite car nous ne serons plus les marionnettes soumises aux desseins d’un Dieu. Tout ceci a été façonné sur le plan terre. Telle est l’histoire de l’arche de l’alliance. Et aucune personne spécifique ne peut déclencher cela, à cause du souvenir terrible qui y est attaché, avant que tous n’aient trouvé l’harmonie dans leur propre être. Qu’il en soit ainsi. Qu’ils aient été assaillis en tant qu’Hittites, Égyptiens ou même Perses, la plupart sont conscient de la terreur qu’elle apporte. Elle existe dans la mémoire de tous ou presque. Ce fut l’arme la plus extraordinaire de tous les temps.
Le peuple élu de Dieu.
Jéhovah retourna alors dans les cieux, comme une grande et terrible armée, fait qui est relaté dans la plupart des livres anciens. Les cieux apparaissaient en feu, avec ces chariots de feu, et il y laissa une escale où il tint conseil avec Yahweh. L’entourage de Yahweh était fort restreint, et ne se composait que d’une fraternité maintenant appelé la Grande Fraternité Blanche ; cette dernière existait sur ce plan, aux points de références important. C’est ce qui restait de son armée. Seuls treize n’étaient pas devenus l’homme asservi et encombré. Accompagné de ses treize, il rencontra et entra en pourparlers avec Jéhovah et sa terrible armée. Jéhovah, et sa terrible armée ne vit aucune armée car Yahweh n’avait personne qui puisse livrer bataille à ses côtés.
Jéhovah chercha donc la semence et la semence était un homme ignorant et de faible importance. Il emmena l’homme dans le pays nommé Babylone. Il était de descendance Perse et fit de cet homme unique une multitude qui puisse combattre Yahweh sur ce plan. Le Seigneur Jéhovah se fit connaître et mena cette entité dans les déserts des plaines de ce monde contre un grand nombre de peuples qui vivaient en paix selon leur droit propre et leurs croyances propres. Il maudit l’homme noir, de même qu’il maudit l’homme blanc ; il les méprisait. Il apporta une petite semence qui deviendrait une nation d’entités pour qu’elles livrent bataille aux peuples de Yahweh, en particulier les Égyptiens.
Un des plus grands Christs – et leader – qui ne soit jamais né grâce à la copulation, depuis l’existence des peuples de Yahweh, fut Ra-Ta-Bin. Il fut un grand et magnifique pharaon. Il fut l’un des premiers pharaons du peuple égyptien. Il adorait la magnifique et merveilleuse lumière du matin, le soleil, car il savait que là naissait toute vie. Telle était l’unique image qu’il possédait de son histoire. Il aimait et désirait la paix, avec tous les peuples, ce qu’il eut, jusqu’à ce qu’un matin un voleur ne le surprenne dans la nuit et ne l’assassine alors qu’il regardait le lever du soleil dans sa gloire. Pour son peuple – et les pharaons à venir –, il laissa un héritage de justesse, d’amour, d’un peuple humble possédant un grand pouvoir de cognition, qui allait bâtir sur ce plan de remarquables monuments, symboles du Christ intérieur que l’éternité ne puisse jamais éroder. Ce sont les pyramides d’aujourd’hui.
Cependant, le Seigneur Dieu Jéhovah avait une menace dans son cœur et dans son âme, et il utilisa son peuple élu comme véhicule contre toutes les autres races car c’était le plan qu’il était déterminé à combattre, et il le fit. La bataille s’ensuivit et la terre fut prise, de force. C’est ainsi que commença le règne du Seigneur Jéhovah sur le plan terre, un règne qui allait durer mille ans. Il enseignait des choses et désigna des scribes pour que ses paroles soient transcrites. Ses paroles n’étaient que menace et meurtre, harcèlement terrible, séparation entre les gens, entre une croyance et une autre. Dans les années qui suivirent et dans les temps qui suivirent, le visage de la terre changea pour être celui de la guerre.
Les membres du très haut conseil qui siège sur ce plan pleuraient et envoyaient aux deux factions des rêves de paix et de connaissance. Ceux qui servaient Jéhovah le craignaient tellement, qu’ils obéissaient sans broncher à ses ordres et recommandations. Telle était l’indignation ressentie par Yahweh à la vue du jeu de Jéhovah perpétré contre les entités de la liberté sur ce plan ; son intervention qui avait pour dessein leur annihilation était si injuste et il était lui-même l’horreur de toute conscience.
Le conseil des Treize
Yahweh qui était encore au sein de son être propre désirait intensément et priait incessamment pour l’Esprit humain et la liberté de l’homme, si délicatement créé, afin que des Dieux, précieux et merveilleux, puissent y exister et faire œuvre de créativité, de sorte qu’existent des mondes et des nations de gens qui – interstellaires, aimeraient la paix. Il priait et marchait au milieu des champs de bataille, alors que le Seigneur Dieu Jéhovah était assis sur sa montagne, faisant trembler la terre car il méprisait Yahweh, lui qu’il ne pouvait détruire si ce n’est au travers de son peuple.
Le Conseil des Treize observa ceci durant des siècles et laissa libre cours à Jéhovah, lui qui ne tolérait qu’aucun autre Dieu hormis lui-même ne soit adoré par son peuple, leur promettant à tous l’enfer s’ils le faisaient. Jéhovah connut son règne. Le Conseil des Treize en compagnie de Yahweh, en relation avec les peuples pacifiques d’Id dans les Pléiades, provoquèrent un règlement divin. Et voici qu’apparut dans les cieux un vaisseau plus grand encore, d’une telle compassion et d’une telle terreur que nul ne pouvait rivaliser avec ; en un instant, il se déplaçait, dans les cieux, d’une manière telle que nul ne pouvait en prendre le contrôle, pas même Jéhovah et sa flotte. En son sein, siégea un Conseil comprenant les Dieux les plus sages qui aient existé. Ensemble, ils y entrèrent – ils se façonnèrent en divisant leurs âmes et leur connaissance à tous – et façonnèrent une entité qui adviendrait et changerait le visage du monde. C’est ce qu’ils firent. A cette vue, Jéhovah s’enfuit car une telle chose, il ne saurait tolérer. Le vaisseau dans lequel ils se tiennent est comme le soleil et d’une rapidité extrême.
C’est ainsi que, parmi les peuples, commença une prophétie, création de Yahweh et de son Conseil, annonçant l’avènement d’un grand être qui écraserait la tête de celui qui avait écrasait la tête de l’humanité. Ainsi advint Yeshua ben Joseph L’étoile la plus grande qui ait jamais brillé dans vos cieux fur le grand vaisseau qui l’amena. Celui-ci guida les sages de la terre entière, depuis tous les ports, jusqu’à ce beau petit pays sans importance et leur permit d’être les témoins de quelque chose d’à la fois grandiose et magnifique. Qui donc serait Yeshua ben Joseph ? Un nomade sans biens qui pouvait à peine parler l’araméen, mais qui est versé dans sa propre langue ; il viendrait et, grâce à lui, les entités penseraient, non en termes de guerre car il méprisait la guerre, non plus qu’en termes d’ennemis car il les aimait. L’amour était la réponse qui était dans le cœur de Yahweh, d’Id et du Conseil, vu dans une magnifique entité. Il vint et dérouta ses ennemis en les aimant et, plus encore, en ressuscitant leurs morts, en ouvrant leurs yeux pour qu’ils voient et en aimant Samaritain et Juif de façon identique, en aimant toute entité de façon identique.
L’amour unifié était ce que Yeshua avait le plus besoin d’exprimer envers son peuple. Cependant, par sa vie et son ministère de très courte durée selon notre mesure de temps, cette entité de grande douceur changea le court de la vie pour toujours car l’amour ne serait jamais oublié, étant ce qui guérit et unifie l’Esprit humain. Il vint donc et, lorsqu’il priait et entrait en lui-même, lorsqu’il rencontrait ceux avec lesquels il tenait conseil, il faisait signe à ceux qui le suivaient de n’en jamais dire un mot. Ceux avec qui il tenait conseil était l’armée de Yahweh et d’Id. Lorsque l’heur fut venue de mettre fin à sa vie pour démontrer qu’il existait un triomphe plus grand que tous ceux qui avaient été démontrés auparavant – que la vie se poursuit après ce que l’on appelle la mort –, l’entité attachée à la croix tourna les yeux en direction de la Porte de Jaffa où se tenaient tous les gens car il se souciait d’eux. C’était pourtant son corps à lui qui était à l’agonie.
Cette entité fit une chose remarquable que personne d’autre ne ferait, car personne ne meurt pour autrui excepté durant un combat, et alors seulement par devoir. Lorsqu’il le fit, l’amour devint apparent en tous les hommes. Cela est sujet à controverse ? Car même aujourd’hui, on ne le croit pas. Mais l’amour qui habitait dans cette entité devait délivrer le monde du Seigneur Dieu Jéhovah et de son armée. A ce jour, Yahweh et aux Treize se sont ajoutés d’autres également et, depuis ces événements, bien d’autres font partie de cette fraternité. Ils y sont toujours.
Jéhovah n’est pas venu pour aimait le monde ni pour le sauver. Il est venu pour lui livrer bataille, ce qu’il fit. La plupart d’entre vous, furent victimes de ces événements. Qui est-il en fait ? Un grand et terrible Dieu, mais sa puissance extraordinaire, ne s’approchera jamais de l’humilité de l’homme car il ne devint jamais un homme lui-même. Il considérait les hommes comme des marionnettes. La seule chose qu’il voulait était d’être adoré et servi, ce qu’il parvint à faire.
En cette entité, le Père, l’être suprême, demeurent aussi. Il vit toujours et séjourne au-delà de cet univers-ci. Il va cependant revenir ; sa présence est en effet déjà ressentie, même dans notre galaxie. Ce grand Dieu est conscient de sa faiblesse de notre être et nous ne aimes pas à cause de cela. Ce Dieu et l’armée de son être n’ont pas appris en vérité ce qu’est la tendresse du cœur de l’homme ni ce que ce dernier est réellement dans son âme.
LA FAMILLE ROMAINE PISO A ÉCRIT LE NOUVEAU TESTAMENT, INVENTÉ "JÉSUS".
"Nous, juifs et dirigeants d'églises, savons depuis le début du christianisme qu'il a été synthétisé par la famille romaine Piso dans le but de maintenir le contrôle sur les masses et d'apaiser les esclaves. Et, c'est pourquoi nous, juifs, sommes le" peuple élu "et pourquoi nous avons tant enduré pendant tant d'années ; nous sommes témoins du mensonge. Nos ancêtres ont écrit ce qu'ils pouvaient à ce sujet dans nos textes. "
DU CHAPITRE I (La véritable paternité du Nouveau Testament)
"Le Nouveau Testament, l'Église et le christianisme, étaient tous la création de la famille Calpurnius Piso (prononcé Peso avec long" E ") (a), qui étaient des aristocrates romains. Le Nouveau Testament et tous les personnages qui s'y trouvent - Jésus, tous les Joseph, toutes les Marie, tous les disciples, les apôtres, Paul et Jean-Baptiste - sont tous fictifs. "
"Les Pisos ont créé l'histoire et les personnages; ils ont lié l'histoire à un moment et à un lieu précis de l'histoire; et ils l'ont liée à des personnes réelles périphériques, telles que les Hérodes, Gamaliel, les procurateurs romains, etc. Mais Jésus et tout le monde impliqués avec lui ont été créés (c'est-à-dire fictifs!). "
"Au milieu du premier siècle de notre ère actuelle, l'aristocratie de Rome se sentait confrontée à un problème croissant. La religion juive continuait de croître en nombre, ajoutant toujours plus de prosélytes. Les Juifs comptaient plus de 8 000 000 et représentaient 10% des populations de l'empire et 20% de cette partie vivant à l'est de Rome. b) Environ la moitié ou plus des Juifs vivaient en dehors de la Palestine, dont beaucoup descendaient de prosélytes, hommes et femmes. " (c)
"Cependant, l'éthique et la moralité du judaïsme étaient incompatibles avec l'institution romaine sacrée d'esclavage dont l'aristocratie se nourrissait, vivait et régnait. Ils craignaient que le judaïsme ne devienne la religion principale de l'empire. L'auteur romain, Annaeus Seneca, tuteur et confident de L'empereur Néron, a suggéré dans une lettre à son ami Lucilius (un pseudonyme de Lucius Piso) que les bougies allumées le jour du sabbat soient interdites. (D) Sénèque est plus tard cité par saint Augustin dans sa Cité de Dieu (e) (bien que la citation ne n'existent pas dans les écrits existants de Sénèque) comme accusant que: "les coutumes (du sabbat) de cette nation la plus maudite ont acquis une telle force qu'elles sont maintenant reçues dans tous les pays, les vaincus ont donné des lois au conquérant." "
"La famille dirigée par l'ami de Sénèque, Lucius Piso, était confrontée à un problème apparenté plus personnel. Il s'agissait des Calpurnius Pisos, descendants d'hommes d'État et de consuls, ainsi que de grands poètes et historiens. Gaius et Lucius Calpurnius Piso. , chefs de famille, avaient épousé Arria la Jeune (du nom de son grand-père, Aristobulus). Cela fit de la femme de Gaius et Lucius Piso l'arrière-petite-fille d'Hérode le Grand. "
"À plusieurs reprises, des fanatiques judéens à l'esprit religieux organisaient des insurrections contre les dirigeants hérodiens de Judée qui étaient les relations de la femme de Piso. Piso souhaitait renforcer le contrôle de la famille de sa femme sur les Judéens. Les Pisos ont cherché une solution aux deux problèmes. Ils l'ont trouvée dans les livres saints juifs, qui étaient à la fois le fondement de la propagation rapide de la religion et du refus du fanatique d'être gouverné par les marionnettes de Rome. Les Pisos se moquaient, mais s'étonnaient de la croyance juive en leurs livres saints. Un nouveau livre "juif" serait la méthode idéale pour pacifier les Judéens et renforcer le contrôle de leur belle-famille sur le pays. "
"Vers l'année 60 après JC, Lucius Calpurnius Piso composa Ur Marcus, la première version de l'Évangile de Marc, qui n'existe plus. Il fut encouragé par son ami Sénèque (f) et aidé par le parent de sa femme, jeune Persius le poète. La maîtresse de Néron (plus tard sa femme) Poppée était pro-juive, et Néron s'opposa au plan. Le résultat fut la conspiration des Pisoniens pour assassiner Néron, détaillée dans l'historien Tacite. Mais cette tentative échoua quand il avorta le complot. , Nero a fait exécuter Piso et Seneca et leurs conspirateurs en les forçant à se suicider. "
«Il a exilé le jeune fils de Piso, Arrius (épelé« Arius »ici), qui apparaît dans Tacite sous plusieurs noms, dont« Antonius Natalis ». (G) Nero a envoyé le jeune Piso en Syrie comme gouverneur. Ce poste lui a également donné le commandement des légions contrôlant la Judée. Sa propre "histoire" enregistre son service en Judée en l'an 65 sous le nom de Gessius Florus, et en 66 sous le pseudonyme de Cestius Gallus. "
"Cet Arius Calpurnius Piso a délibérément provoqué la révolte juive en 66 afin qu'il puisse détruire le Temple de Jérusalem (h) - car les Juifs n'étaient pas disposés à accepter l'histoire de son père et à se pacifier ainsi comme prévu. Cependant, son 12e La légion a été capturée par les fanatiques dans le col de Beth Horon et a presque perdu. La réaction de Néron a été de l'exiler à la place en Pannonie, de commander une légion là-bas et d'envoyer Licinius Mucianus pour servir en Syrie, et Vespasien en Judée pour réprimer le Révolte juive. "
"Puis, en 68, Néron a été assassiné par son propre esclave Epaphrodite (I) - qui était inconnu de son maître était le laquais du jeune Piso. Galba est devenu empereur et a nommé le cousin de Piso, Licinianus Piso, (j) comme son successeur; mais Galba à son tour fut bientôt renversé par Othon. Othon fut ensuite renversé par Vitellius-à quel point Piso et ses amis commencèrent à affluer ensemble contre ce dernier. Les Pisos, Mucianus et Tiberius Alexander rejoignirent tous les rangs derrière Vespasien pour chercher à renverser Vitellius. (k) Ils ont été rejoints par Frontinus et Agricola. "
"Arius Calpurnius Piso commandait toujours la 7e légion de Pannonie (l) (Autriche-Hongrie), et Vespasian lui envoya (m) (apparaissant maintenant à Tacite sous le nom de Marcus Antonius Primus (n)) au sud des Alpes pour renverser Vitellius Pendant ce temps, le corps principal des légions de Vespasien a marché par voie terrestre sous Mucianus de l'est vers Rome. Piso a réussi à vaincre l'armée de Vitellius et a assuré Rome pour Vespasian. (O) Mucianus est arrivé et l'a rapidement envoyé en Judée pour aider Titus au siège de Jérusalem. Il l'a fait et, en 70, ils ont attaqué la ville, puis le Temple, l'ont incendiée, ont massacré des milliers de personnes, ont envoyé des milliers de personnes de plus en esclavage, au combat de gladiateurs et à la mort. " "Ensuite, Arius Calpurnius Piso a écrit, dans l'ordre, ce qui suit: Evangile de Matthieu (70-75 EC) Evangile actuel de Marc (75-80 EC) Evangile de Luc (85-90 EC, avec l'aide de Pline le Jeune) Dans l'histoire de l'Évangile, il s'est inséré en jouant le rôle non seulement de Jésus, mais aussi de tous les Joseph. Il a particulièrement apprécié assumer l'identité de Joseph. Souhaitant créer un héros juif, un sauveur, sous une forme fictive, il (et son père avant lui), sentait l'identité d'un deuxième Joseph secrètement, mais très justement, leur convenait. Pour leur nom, Piso avait les mêmes quatre lettres, réarrangées, que les quatre lettres hébraïques (Yud Vov Samech Fey) qui dans cette langue épelaient le nom Joseph. Ainsi, ils se considéraient comme le nouveau Joseph. C'est pourquoi une grande partie de l'histoire de Joseph en Égypte est secrètement refaite et insérée dans l'histoire de l'Évangile de Jésus. "
Références
(a) Les voyelles sont prononcées comme dans "veto" et "moi si".
(b) Klausner, Joseph, From Jesus to Paul, Macmillan Co., 1943, pp 33-34.
(c) Baron, Salo, Une histoire sociale et religieuse des Juifs, Columbia Univ. Press, NY, et Jewish Publication Society, Philidephia, 1952, vol. 1, pp 170-171.
(d) Seneca, Ad Lucilium Epistulae Morales, vol. III, épître XCV.47, pp 87-89.
(e) St.Augustine, Cité de Dieu, bibliothèque moderne, Random House, 1950, 6.11, p 202.
(f) Seneca, Ad Lucilium Epistulae Morales, vol. I, Epître XLVI, pp 299-300.
(g) Tacite, Annales, XV.54,71.
(h) Après avoir détruit le Temple, Piso pouvait alors faire prophétiser la destruction par Jésus (qu'il était antérieur à 40 ans avant la destruction du Temple) à cause du rejet des Juifs! (Mat. 23.37-38).
(i) Les historiens romains (Suet. Nero 49, et Dio Cassius 63.29) expliquent simplement qu'Epaphrodite a aidé au suicide de l'empereur. Voir aussi Tacite, Annals XV.55, note de bas de page 2.
(j) Tacite, Histoires I.14.
(k) Tacite, Histoires II.74-81.
(l) Tacite, Histoires III.2, note de bas de page 1.
(m) (Tacite) Vespasien comptait sur Piso parce qu'il était le petit-fils de son propre frère - le frère de Vespasien, T. Flavius Sabinus, avait épousé Arria Sr., qui était la grand-mère maternelle de Piso. L'identité de Piso comme étant donc également un Flavien est déchiffrable de l'apparition dans la lignée familiale Flavienne de L. Caesennius Paetus (Townend, Gavin, Some Flavian Connections, Journal of Roman Studies LI.54,62, 1961). C'était un pseudonyme (comme Thrasea Paetus) du père de Piso, L. Calpurnius Piso. Voir page 20 supra, où Piso lui-même est également mentionné comme Caesennius Paetus. C'est la vraie raison pour laquelle Piso a utilisé le pseudonyme littéraire de Flavius; ce n'était pas à cause de son adoption présumée - mais fausse et à peine nécessaire - par l'empereur Flavius Vespasien. Il était en fait un Flavien.
Piso a utilisé avec humour les trois consonnes de base du nom Sabinus des Flaviens, SBN, dans des séquences révisées pour certaines de ses identités littéraires fictives:
(1) BarNaBaS qui apparaît dans Actes 4.36 et y a spécifiquement indiqué comme un autre nom d'un Joseph (Josephus!),
(2) BarNaBazoS dans Antiq. XI.207, (3) BaNnoS dans Vita 11, l'image miroir de Jean-Baptiste.
Le même dispositif de réarrangement des consonnes a été utilisé pour recréer Afranius Burrus, l'ami de Sénèque (Tacite, Annales XIII-XIV) - et donc de Lucius Piso. Il était le préfet prétorien de Néron, puis plusieurs années avant la mort de Sénèque, était lui-même victime de l'empereur. Burrus réapparaît sous le nom de BaRaBbaS, le brigand fictif de Mat. 27.16.
(n) (Tacite, Histoires III.6). La prise de conscience que Marcus Antonius Primus était un pseudonyme d'Arius Calpurnius Piso est basée sur ces facteurs:
1. Le nom dans les lettres de Pline sous lequel Piso est le grand-père de l'épouse de ce dernier est Arius Antoninus.
2. Selon Suetonius (La vie des Césars, livre IV. XXV), l'empereur Caius Caligula s'est approprié la femme de Gaius Piso au mariage de Piso. Cela aurait été environ l'année 36 - l'année avant la naissance d'Arius. Caligula est connu pour être un descendant de Mark Antony (Marcus Antonius). Apparemment, Suetonius se moquait de la paternité mise en doute de la création d'alter ego de Piso.
3. La description caustique de Marcus Antonius Primus par Tacite rappelle celle de Piso.
4. L'idée d'appeler Piso "Antonius Primus" - était la sienne. C'est Piso lui-même dans sa guerre juive IV.495 qui a d'abord détaillé la campagne d'Antonius Primus pour Vespasien contre Vitellius. Josephus insère également "Antonius" (lui-même!) En tant que centurion qui meurt lors de la capture de Jotapata (guerre juive III.333).
5. Le collègue de Marcus Antonius Primus dans la campagne contre Vitellius s'appelle Arrius Varus (Tacite, Histoires III.6). C'est encore un autre alter ego de Piso lui-même. Au milieu des années 50 (CE), alors qu'il était à la fin de son adolescence, le jeune Piso était préfet d'une cohorte de légionnaires dans la campagne contre Vologeses, roi d'Arménie - y servant (à Tacite, Annales XIII.9) sous le nom d'Arrius Varus.
6. Ses exploits en tant que général Marcus Antonius Primus expliquent son absence de Judée dans les années 67-69, entre sa défaite en tant que Cestius Gallus et sa réapparition pour aider Titus comme siège de Jérusalem en 70. Plutôt que d'être prisonnier de Vespasien enchaîné, il était son général, avançant sur Rome en son nom.
(o) Tacite, Histoires, III.82-86. «L'autorité suprême était également exercée par Antonius Primus» (Tacite, Histoires, IV.2).